JE SUCCOMBE À MA DOULEUR
Continuamos nuestro recuerdo al compositor alemán Christoph Willibald Gluck, con la que probablemente es su aria más popular, J'ai perdu mon Eurydice (Che farò senza Euridice en la versión italiana), correspondiente al Cuadro I del Acto III de su ópera "Orphée et Eurydice". La brillante, expresiva y conmovedora interpretación de esta bellísima pieza musical a cargo de Juan Diego Flórez -en el concierto Red Ribbon Celebration en el Burgtheater de Viena el 10 de junio de 2016- deja ver a las claras por qué el fenomenal tenor peruano es el más solicitado de la actualidad. Un año antes, Flórez, encarnando a Orfeo en una producción de la mencionada ópera en la Royal Opera londinense, había inflamado de entusiasmo a la audiencia.
J'ai perdu mon Eurydice (paroles)
J'ai perdu mon Eurydice,
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Je succombe à ma douleur!
Eurydice! Eurydice!
Reponds, quel supplice!
Reponds-moi!
C'est ton époux, ton epoux fidele
Entends ma voix qui t'appelle,
Ma voix qui t'appelle.
J'ai perdu mon Eurydice,
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Je succombe à ma douleur!
Eurydice! Eurydice!
Mortel silence, vaine esperance!
Quelle souffrance!
Quel torment dechire mon coeur!
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Je succombe à ma douleur!
Eurydice! Eurydice!
Reponds, quel supplice!
Reponds-moi!
C'est ton époux, ton epoux fidele
Entends ma voix qui t'appelle,
Ma voix qui t'appelle.
J'ai perdu mon Eurydice,
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Je succombe à ma douleur!
Eurydice! Eurydice!
Mortel silence, vaine esperance!
Quelle souffrance!
Quel torment dechire mon coeur!
J'ai perdu mon Eurydice,
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Sort cruel! quelle rigueur!
Je succombe à ma douleur!
À ma douleur, à ma douleur!
Qué atinada selección! Porque el aria se las trae! Y Juan Diego transita por ella fantásticamente!! Bravo por Javi!!
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